Les activités inscrites au programme de la troisième édition du Festival du Film et des Droits de l’Homme, organisées sous le slogan « L’enfance d’abord », ont été ouverts aujourd’hui dimanche 7 juillet courant, au Centre International de Conférence Mokhtar Ould Daddah,
Le festival vise à mettre en lumière les questions humanitaires et sociales qui préoccupent la société, à travers 7 films nationaux qui racontent des histoires originales avec des voix créatives qui cherchent le changement.
6 films autres internationaux qui passent en revue les expériences humaines, les douleurs, les joies et les rêves seront également présentés au cours de cet important événement culturel.
La président édition comprend des compétitions de films et de reportages télévisés traitant des droits de l’enfant, ainsi qu’un concours de flashs publicitaires et des sessions de formation mettant à l’honneur un certain nombre d’acteurs du domaine du cinéma.
Ce festival, avec son thème élevé et ses invités, parmi lesquels des artistes et des juristes, représente un pont entre l’art et les valeurs, entre la créativité et le devoir, pour confirmer que la justice n’est pas seulement dans les dispositions de la loi, mais dans les détails de la scène, dans le ton de la voix, et dans le silence quand il est plus fort que les mots, a déclaré à cette occasion, le
Ministre de la Culture, des Arts, de la Communication et des Relations avec le Parlement Houssein Meddou.
La justice, la dignité, la liberté et l’égalité sont les valeurs fondamentales que nous devrions tous travailler à établir dans nos sociétés, non pas comme des slogans, mais comme des principes qui nous obligent à travailler dur et à les enseigner aux générations futures, a indiqué quant à lui, le président du Festival international du film et des droits de l’homme, M. Mohamed Ould Cheiguer.
Toujours selon lui, cette édition abordera des questions importantes liées à la réalité des droits de l’homme à travers un colloque de réflexion qui mettra en lumière les défis sociaux et juridiques.
Ce qui dira-t-il, aura un impact significatif sur la promotion de la sensibilisation et de la participation effective dans ce domaine, disant que le rôle des artistes cinématographiques ne sera pas complet sans la participation de la presse.
En effet l’administration du festival a mis en place un concours pour le reportage télévisé en coopération avec la chaîne familiale sur les droits de l’enfant, ainsi que l’autorité de la publicité à travers le soutien du concours publicitaire pour les flashs publicitaires audiovisuel, a-t-il précisé.